Tout sur " Jozef Kapustka: Improvisations with Bashir" (DUX/Naxos 2013)
santur: Bashir Faramarzi
tonbak: Pedram Khavarzamini
piano: Jozef Kapustka
sound: Thomas Vingtrinier
executive production: Sanaz Khosravi
artistic direction: Sanaz Khosravi
images: Sanaz Khosravi
graphic design: Artur Piatek
recorded in: Sequenza Studio, Paris


Remerciements: Jean-Francois Zygel (CNSMDP), Prof. Robert Simms (York University, Toronto), Sanaz Khosravi (Teheran), Mireille Kassar (Lebanon)

Introduction

Bienvenue!

Merci de votre visite sur la page "Jozef Kapustka: Improvisations avec Bashir".

Le trio Kapustka-Faramarzi-Khavarzamini, crée en 2011, a déjà réussi à se faire remarquer ;  en effet, il bouscule les certitudes et questionne les sensibilités des deux cotés de l'Atlantique et au proche Orient.
A la base de cette rencontre des musiciens porteurs de deux cultures classiques, orientale et occidentale : tous sont issus de centres d'enseignement prestigieux et dotés de prix nationaux et internationaux. Ils partagent une volonté de se lancer dans une aventure humaine et artistique inédite, qui se traduit par la fusion de la culture et de la technicité érudite avec un mode d'expression plutôt free-style :  les morceaux de musique joués étant intégralement improvisés dans la plus pure tradition orientale.
Par cette création éphémère les musiciens cherchent à établir une forme d'expression musicale tout-à-fait originale et vigoureusement contemporaine.
C'est une rencontre fragile, saisie sur le vif autour d'un univers hypnotique, une rencontre timide entre le monde d'orient mystérieux, envoutant et expansif et le monde occidental en pleine quête identitaire.
Il en résulte une oeuvre pleine de grâce et de force insoupçonnée.


Témoignages


Ils ont dit:

Kamal Kassar de la Fondation AMAR

(Arab Music Archiving and Research), Lebanon:

"Ce que j'aime dans ces pièces, c'est ce coté répétitif, comme un mantra, qui crée une addiction comme furent certaines œuvres de Terry Riley ou comme provoque un raga indien, et ce sentiment est appuyé par une main gauche géniale. (Le jeu de Jozef Kapustka me rappellent les expériences de Keith Jarrett dans Köln concert, ou certains morceaux du trio Gustavsen)"

Robert LaPorta, (MSR Classics), ancien Director of Classics chez Angel-EMI-Virgin Classics-Blue Note label group, Marketing and Production Manager pour London-Decca Records, Deutsche Grammophon , Philips Classics et PolyGram label group , Publicity and Contracts Associate chez ICM Artists management à New York, membre Grammy's Classical Commitee (USA):

"J'ai vu, j'ai écouté et j'en suis fasciné..."


William Penn, University of Arizona Recordings (USA):

"Un talent exceptionnel et une excellente qualité de l'enregistrement"

Flavia Mounaji, chanteuse (Maroc/Suisse):

"Ça me plaît beaucoup. C'est dénudé, profond. Ça emmène loin et c'est d'une douceur infinie tout en étant dans un mouvement puissant d'une grande fluidité. J'aime !"

Luc Nevers " Rarétes à découvrir - Non curieux s'abstenir! "  revue PIANISTE  (France)
Le santour persan, (...) le tombak (...) s'associent au piano pour créer une série d'improvisations. Elles réunissent, dans des harmonies inextricables, les traditions et cultures orientales, perses, arabes et occidentales. On songe parfois aux musiques hypnotiques de Gurdjieff et de Hartmann (...) Inspirateur de ce programme, Jozef Kapustka, fait judicieusement alterner la prima voce entre tel ou tel instrument (...) D'autres caractéristiques encore plus étonnantes surgissent de cette musique (lire le livret). Une découverte intéressante.


Roger Thomas " Contemporary Music on CD - New Listening" , International Record Review
There seems to be a general movement on both sides to try and salvage, preserve and develop the musical culture of the region at a time when war and political strife mitigate against such concerns. Jozef Kapustka’s Improvisations with Bashir, which sets Kapustka’s piano alongside the santur (a hammered dulcimer) and the tonbak (one of the splendidly onomatopoeic names given to the double-pitched hand drum common throughout the region) before closing with an extensive solo piano workout, is a fine example of this, its slowly developing, restrained extemporizations building sonic structures that seem to shimmer like desert mirages
(Dux DUX0942, 51minutes).